Emmanuel Macron vient de déclarer au journal La ¨Provence que « le FN est un Syriza à la française, c’est le repli sur soi ».
Dans une toute autre situation on pourrait juste se demander si…
Juil 06
M. Macron doit démissionner
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Juil 06
M. Macron doit démissionner
Emmanuel Macron vient de déclarer au journal La ¨Provence que « le FN est un Syriza à la française, c’est le repli sur soi ».
Dans une toute autre situation on pourrait juste se demander si…
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Juil 06
Elargir la brèche grecque
Photo
Photo Stéphane BURLOT
En votant massivement non à l’austérité européenne, le peuple grec vient d’élargir de manière historique la brèche de désobéissance…
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Juil 06
Elargir la brèche grecque
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Photo Stéphane BURLOT
En votant massivement non à l’austérité européenne, le peuple grec vient d’élargir de manière historique la brèche de désobéissance…
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Juil 06
Rassemblement place de la République après la victoire du «NON» en Grèce
Quelle incroyable mobilisation ! Le 5 juillet à 19h00 au micro de RTL, Jean-Luc Mélenchon appelle à se réunir le soir même à 21h30 place de la République à Paris pour fêter la victoire du « NON » au référendum en Grèce. Sur les réseaux sociaux, l’information se répand comme une trainée de poudre : en quelques heures, le tweet de Jean-Luc Mélenchon est partagé près de 200 fois, sa publication Facebook plus de 1 600 fois et plus de 1 400 personnes participent à l’événement en ligne qu’il a créé.
En vitesse, avant de me rendre à ce rassemblement, je bricole une petite pancarte en scotchant deux bouts de carton. J’écris « Merci ! » en grec, ce qui se dit : « ευχαριστώ ». Je me dis que si jamais notre rassemblement passe à la télévision grecque, cela peut être bien d’avoir écrit un petit mot compréhensible pour eux.
Rassemblement place de la republique : merci en grec
Après m’être équipé de mon écharpe rouge, je monte sur un vélo et arrive en vitesse place de la République. Il y a déjà beaucoup de monde. J’y retrouve des camarades qui ont tous un grand sourire aux lèvres. Enfin, la chaîne de l’austérité a craqué en Europe ! Soudain, on entend une clameur. D’une bouche de métro sortent des camarades à la suite de Jean-Luc Mélenchon. Ils chantent. Ils traversent la foule jusqu’à la statue de la République et reprennent de plus belle :
On chante, on sourit, on lève le poing. Nous sommes rassemblés pour fêter un « NON » qui l’a emporté à plus de 60% ! L’Internationale résonne : nous envoyons notre solidarité au peuple grec. Soudain, un camarade dit dans la foule : « Jean-Luc, un discours ! On va répéter comme au temps de Jaurès ! ». Jean-Luc prend la parole et, spontanément, beaucoup d’entre nous répètent en direction de celles et ceux qui sont derrière, afin que tout le monde puisse entendre.
Dans la foule flottent les drapeaux de nombreuses organisations. Flottent aussi les drapeaux de plusieurs pays : Grèce, Tunisie, France… les drapeaux des révolutions citoyennes commencées et à venir. Sur cette place, ainsi rassemblés, nous voyons combien le « NON » grec est un signal pour le peuple Français. Comme l’avait dit Hamma Hammami le matin même au Congrès du Parti de Gauche : il y a un lien très fort entre les révolutions citoyennes qui ont commencé tout autour de la Méditerranée ; et les luttes que nous menons chacun dans nos pays sont liées les unes aux autres.
Hammami : pour une coordination de la… par lepartidegauche
Une autre politique est possible. Elle passe nécessairement par la reconquête d’une souveraineté nationale. Le peuple tunisien l’a montré hier. Le peuple grec le montre aujourd’hui. Le peuple français le montrera demain. Jean-Luc Mélenchon a dit l’année dernière que 2017 serait « une insurrection civique ». Qu’un rassemblement organisé en deux heures à peine sur les réseaux sociaux, à son appel, regroupe autant de monde que ce que nous avons vu ce soir, n’est pas anodin. C’est la preuve que lorsque la machine à créer de la résignation se brise à l’autre bout de l’Europe, le peuple français reprend espoir et repère immédiatement la brèche par laquelle peut s’engouffrer sa volonté d’en finir avec le système. Nous sommes « le peuple des révolutions ». La prochaine est pour bientôt.
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Juil 06
Rassemblement place de la République après la victoire du «NON» en Grèce
Quelle incroyable mobilisation ! Le 5 juillet à 19h00 au micro de RTL, Jean-Luc Mélenchon appelle à se réunir le soir même à 21h30 place de la République à Paris pour fêter la victoire du « NON » au référendum en Grèce. Sur les réseaux sociaux, l’information se répand comme une trainée de poudre : en quelques heures, le tweet de Jean-Luc Mélenchon est partagé près de 200 fois, sa publication Facebook plus de 1 600 fois et plus de 1 400 personnes participent à l’événement en ligne qu’il a créé.
En vitesse, avant de me rendre à ce rassemblement, je bricole une petite pancarte en scotchant deux bouts de carton. J’écris « Merci ! » en grec, ce qui se dit : « ευχαριστώ ». Je me dis que si jamais notre rassemblement passe à la télévision grecque, cela peut être bien d’avoir écrit un petit mot compréhensible pour eux.
Rassemblement place de la republique : merci en grec
Après m’être équipé de mon écharpe rouge, je monte sur un vélo et arrive en vitesse place de la République. Il y a déjà beaucoup de monde. J’y retrouve des camarades qui ont tous un grand sourire aux lèvres. Enfin, la chaîne de l’austérité a craqué en Europe ! Soudain, on entend une clameur. D’une bouche de métro sortent des camarades à la suite de Jean-Luc Mélenchon. Ils chantent. Ils traversent la foule jusqu’à la statue de la République et reprennent de plus belle :
On chante, on sourit, on lève le poing. Nous sommes rassemblés pour fêter un « NON » qui l’a emporté à plus de 60% ! L’Internationale résonne : nous envoyons notre solidarité au peuple grec. Soudain, un camarade dit dans la foule : « Jean-Luc, un discours ! On va répéter comme au temps de Jaurès ! ». Jean-Luc prend la parole et, spontanément, beaucoup d’entre nous répètent en direction de celles et ceux qui sont derrière, afin que tout le monde puisse entendre.
Dans la foule flottent les drapeaux de nombreuses organisations. Flottent aussi les drapeaux de plusieurs pays : Grèce, Tunisie, France… les drapeaux des révolutions citoyennes commencées et à venir. Sur cette place, ainsi rassemblés, nous voyons combien le « NON » grec est un signal pour le peuple Français. Comme l’avait dit Hamma Hammami le matin même au Congrès du Parti de Gauche : il y a un lien très fort entre les révolutions citoyennes qui ont commencé tout autour de la Méditerranée ; et les luttes que nous menons chacun dans nos pays sont liées les unes aux autres.
Hammami : pour une coordination de la… par lepartidegauche
Une autre politique est possible. Elle passe nécessairement par la reconquête d’une souveraineté nationale. Le peuple tunisien l’a montré hier. Le peuple grec le montre aujourd’hui. Le peuple français le montrera demain. Jean-Luc Mélenchon a dit l’année dernière que 2017 serait « une insurrection civique ». Qu’un rassemblement organisé en deux heures à peine sur les réseaux sociaux, à son appel, regroupe autant de monde que ce que nous avons vu ce soir, n’est pas anodin. C’est la preuve que lorsque la machine à créer de la résignation se brise à l’autre bout de l’Europe, le peuple français reprend espoir et repère immédiatement la brèche par laquelle peut s’engouffrer sa volonté d’en finir avec le système. Nous sommes « le peuple des révolutions ». La prochaine est pour bientôt.
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Juil 05
OXI ! Les Grecs n’ont pas désavoués Syrisa !
Le OXI a gagné ! Les Grecs, démocratiquement, ont dit NON. Ils n’ont pas désavoué Syrisa. Ils ont décidé de se libérer du joug de la Troïka. Ils ne paieront pas les banques à la place des Armateurs, des popes et des escrocs de tous poils qui ont saigné leur pays pendant des décennies. Désormais, ils …
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Juil 05
Discours d’Alexis Tsipras • En Europe, il n’y a ni propriétaires, ni invités
Voici le discours prononcé par Alexis Tsipras, Premier ministre grec, à la télévision, le 26 juin 2015. Il explique sa proposition de référendum du 5 juillet 2015, pour savoir si le peuple grec accep…
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Juil 05
Discours d’Alexis Tsipras • En Europe, il n’y a ni propriétaires, ni invités
Voici le discours prononcé par Alexis Tsipras, Premier ministre grec, à la télévision, le 26 juin 2015. Il explique sa proposition de référendum du 5 juillet 2015, pour savoir si le peuple grec accep…
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Juil 05
JO de Paris 2024 • Plus fric, plus cher, plus polluant
Comme nous nous y étions engagés durant la campagne municipale de 2014, le Parti de Gauche s’est opposé, par le vote de Danielle Simonnet, Conseillère de Paris, à l’organisation des Jeux olympiques à Paris.
Pourquoi ce refus ? D’abord parce les Jeux détournent les fonds publics, toujours vers des non-priorités (un terrain de taekwondo ?!), souvent par la corruption. Corruption pour obtenir les votes au CIO comme cela est attesté pour les JO de Salt Lake City, Londres ou Sotchi.
Les JO ne créent pas d’emplois durables, leurs budgets dérapent invariablement. Ils dévoreront le budget de Paris comme des précédentes villes hôtes. Un budget qu’Anne Hidalgo resserre ailleurs jusqu’à l’austérité, dans l’aménagement des rythmes scolaires ou sur les hôpitaux publics. Ici aussi, l’exemple grec doit nous éclairer : la faillite budgétaire du pays doit également à l’explosion des coûts des Jeux d’Athènes.
Anne Hidalgo et sa grande coalition allant pour l’occasion du PS au parti Les Républicains, prétendent que les JO amèneront des équipements sportifs et plus largement de l’investissement dans le logement, les transports… En réalité, les besoins des Jeux et ceux des Parisien-ne-s ne coïncident pas. Combien pratiquent par exemple le plongeon ?. Tout sera misé sur le village olympique et sa desserte, quand il faudrait dé-saturer l’ensemble des lignes existantes et développer le logement social. Les JO sont une contre-politique sociale.
De plus, dans leur mégalomanie présente, les Jeux olympiques polluent, à l’image des pistes de Sotchi qui pourrissent en plein air depuis la cérémonie de clôture. L’impact est lourd, même dans les villes supposées plus attentives à l’environnement : ainsi, l’ouverture de pelouses géantes est une aberration pour la biodiversité ; s’agiter sur un tapis de Gymnastique rythmique et sportive sous de puissants projecteurs gâche de l’électricité (nucléaire). Les JO polluent aussi les esprits avec la publicité des grands sponsors, dont le sport n’est plus depuis longtemps, ou a toujours été que l’accessoire comme Coca-Cola sur les terrains d’athlétisme !
Nous aimons le sport pour toutes et tous, pour les amateurs, les débutants, les nuls ! Non pas le spectacle bling-bling et arrogant des JO actuels, mais la découverte d’une pratique et le plaisir gratuit de se dépenser. Aux jeux olympiques du fric, version Hidalgo-CIO devraient faire place de véritables Olympiades populaires.
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